De retour... Enfin... Après le désastre, le soleil...

C'était un soir comme tout les autres. Enfin pas exactement car il pleuvait vraiment fort. C'était interminable et désagréable. Au fin fond de l'avion, était assise, une jeune femme calme et silencieuse lisait un livre pour passer le temps. Lorsque l'avion atterrit, elle se leva s'étira puis elle sortit avec tout les autres passagers. Elle chercha ses valises pendant un bon moment puis elle les trouva. La jeune femme aux airs mystérieux, portait un jeans noir, un haut rouge avec une veste blanche. Ses cheveux flottaient sur son dos doucement. Malgré le fait qu'ils soient blonds et roses, Kyana les adoraient. Elle marcha pendant un bon moment dans l'aéroport en traînant ses valises. Elle soupira puis elle se laissa tomber sur une chaise. Elle appuya ses coudes sur ses genoux puis elle cacha son visage dans ses mains. Elle était fatiguée par tout se voyage. Elle chercha un moyen de se calmer. Rien à faire, complètement perdue. Elle soupira puis elle re-sortit son livre. Puis se fut le noir. Elle eut l'impression de retombée dans le passé, Ky-chan revoyait sa famille, les funérailles de son père, sa fugue, tout, les funérailles de sa mère qui était morte il y a à peine 1 semaines. Elle secoua la tête énergiquement puis elle se leva d'un bond. Elle partit en courant vers les toilettes. Elle y entra et aspergea son visage d'eau. Elle essuya son doux visage puis elle sortit de la poche de sa veste un cachet qu'elle avala sans difficulté. Elle sortit de la salle des toilettes puis elle retourna vers la chaise. Cependant, se sentant pas très bien, elle tomba à genou. Elle respira profondément. Tout ses membres tremblaient. Une larme coula sur sa joue, puis une autre apparut. Pourtant, elle souffrait pas, elle était faiblement mentalement. Elle se releva sous les regards inquiets des occupants de la place. Elle essuya ses mains moite sur son jeans puis elle retourna s'asseoir sur la chaise. Au bout d'une demi heure, elle se leva prit ses valises et se dirigea vers la sortie. Elle poussa la porte puis elle regarda dehors, il pleuvait encore et maintenant, il faisait des orages. De plus, elle détestait ceci. Kyana entra une fois de plus dans l'aéroport et s'assit par terre le dos collé contre le mur lâchant un soupir long et très profond. Un homme entra dans la place. Il s’approcha le jeune fille et lui fit signe de le suivre. Kya le suivit en silence. Il la fit monter dans un taxi et se dirigea vers la destination demander par la demoiselle. Lorsque le taxi s’arrêta, il pleuvait toujours aussi fort. Elle soupira puis elle sortit en prenant sa valise. L’ange marcha rapidement et entra dans l’internat. Elle déposa sa valise sur le plancher de marbre puis elle regarda autour d’elle. Kyana soupira puis elle s’assit par terre en fixant le plancher. Elle tressa ses cheveux puis elle sortit son portable, téléphona à sa mère pour lui signaler qu’elle était arriver. Elle raccrocha puis elle le serra au moment où elle entendit des bruits de pas. Elle se leva un peu inquiète. Tous ses sens en alertes, elle avança et percuta quelqu’un.

-Gomen!

Kyana recula puis elle baissa la tête en signe de politesse. L'ange imparfaite ne l'était pas autant que l'on disait. Elle avait sa petite gêne, son petit défaut comme tout le monde quoi? Kyana releva la tête. Elle ne voyait pas très bien le visage de la personne parce que le hall n'était pas tout à fait éclairer. La jeune fille alla vers sa valise puis elle sortit une lampe torche et l'alluma pour voir la personne en face d'elle.

Vincent savait déja se qui allait se passée...enfin, presque. Le directeur sentit la présence de sa cher fille chérie. Un faible sourire au lèvre, dans son bureau ou il était en solitaire, il prit une petite clé en or et ouvrit un des tiroirs vérouiller de son bureau. Dans celui ci...se trouvait une photo bien spécial. La photo de l'âme de kyana... Kyana...SA fille de l'ancienne et révolu époque d'argent. Il allait la revoir...il sentait sa présence dans son pensionnat..tiens...elle s'était décidée a venir lui rendre une petite visite ? bah tant mieux ! il devait lui parler d'urgence de toute facon..

d'un pas incertain mais décidée il sortit de son bureau, passa par le bureau commun au trois directeurs qu'ils étaient lui, celui dont il ne prononcerait surement pas le nom, et marina...sa chère marina qui l'avait "oublier" si on pouvait dire sa comme sa. s'était une journée bien grise et sombre...sa donnait une allure mélancolique a ses retrouvailles familliales...Il faisait bien noir...énorme. Le mot parfait pour décrire le choc qu'il eut quand il fonca sur celle quil aurait voulu rencontrer d'une autre manière...Habiller d'un costard cravate noir, ses cheveux blancs attacher en long tube a l'aide de rubans de soies rouges écarlates. L'homme eut le réflexe de mettre la photo de kyana devant lui, juste pour voir si s'était la descendante de sa fille. Même si au fond, il n'avait pas de doutes visibles dans ses pensées ni dans ses gestes.

Surprise ! l'âme sembla reconnaitre sa descendance et l'entitée alla percuter la jeune fille...
5 minutes passèrent. Le temps de laisser l'entité prendre sa place dans le corp de la nouvelle venue, un triste sourire animait le visage de Vincent. c'était bien sa fille...Mais il ne bougea guère d'un pouce...connaisant le caractère de feux de sa progéniture, il n'osait pas s'approcher. Bien qu'il aurait voulu la serrer dans ses bras, si sa mémoire était juste, ils n'avaient jamais été en très bon termes elle et lui...C'était un peu la raison pourquoi il était ici aujourdhui. Le directeur voulait règler ses comptes et réavoir l'esprit en paix.

-Rebienvenue...Ma fille. Dit il simplemant en la regardant, un air bien calme au visage. Il allait certainement se faire bombarder de questions...Rien ne pouvait vraiment le surprendre avec kiki désormais, elle lui en avait déja fait voir de toutes les couleurs auparavant qu'il était habitué a ses réactions explosives. Il vit que kyana ne disait rien...ou plutot, semblait réfléchir. Il soupira tranquillement. Alors, on ne dit plus bonjour a son père ? , sifflota t'il, sachant qu'un bonjour de kyana était habituellement un coup de poing a cause de ses colères imprévisibles, soit un "ou est maman".

Lorsqu’elle entendit des pas, la jeune femme baissa directement la lampe de poche et à ce moment, la lumière fut, l’électricité était de retour. Enfin. Kyana éteignit la lampe puis elle entendit les pas qui se rapprochèrent. Elle releva vivement la tête et vit un vieillard. Son sourcil se releva puis elle vit alors que l’homme tendait une photo vers elle. Un grand froid envahit la jeune rebelle. Elle eut l’impression qu’une main glacée se refermait sur son âme creusant ainsi des trachées de méchancetés en elle. Bien qu’elle n’avait jamais été très gentille, ce moment fut pire. Son regard changea, il devint de glace. Elle soupira puis elle se regarda de la tête au pied avant de lâcher un « Ouais pas mal pour une fille»... Puis son regard se posa sur Vincent. Elle prit une profonde respiration et... Lui envoya son poing à la figure. C’était une habitude. Elle le regarda puis un sourire satisfait apparu sur les lèvres de la descendante.

-Je t’ai pas trop manquée?

***

Pendant ce temps, quelques part dans le lycée, une jeune enseignante donnait un cour de français. Elle savait que ses étudiants n’avaient pas le cœur au boulot. Bref, elle quitta la classe laissant en plan ses chers élèves. Ses talons hauts résonnaient contre le plancher. Elle fixait droit devant elle lorsqu’elle eut comme un choc. Elle s’appuya contre le mur, la respiration courte. C’était impossible, elle ne pouvait pas être revenue, pas elle... Sa fille bien aimée, venait de revenir. La femme se redressa et commença à courir en direction du hall. Ce qu’elle vit, la fit sourire. Le vieux temps lui avait manquer. Sa fille par contre, avait un style un peu... Étrange. Cependant, le poing que Vincent reçu signala à Marina que c’était bel et bien Kyana qui était de retour. Elle se dirigea vers elle en souriant puis elle tassa Vincent comme si il n’était rien puis elle prit sa fille dans ses bras.

-Tu m’as tellement manquée...

Kyana ne réagit pas sur le coup. Elle était trop préoccupée à se refaire une place dans le corps de sa descendante. Par chance, Aragolas n’était pas là. Lui, il aurait détruit le beau moment en draguant ouvertement Marina devant Vincent. C’était un peu du n’importe quoi comme famille mais faut dire qu’ils étaient très unis. Si quelqu’un était dans la merde, on l’aidait. Bref, on avait beau dire qu’ils étaient la pire famille du monde mais ils restaient fidèles. La jeune femme réalisa que c’était sa mère. Elle la serra contre elle en souriant puis elle la repoussa doucement.

-Qu’elle bombe! Waouh, t’es mieux qu’il y a eum... Combien d’années? Oh et puis merde on les comptes plus! T’es trop bien foutu...

Marina regarda sa fille. Elle était assez surprise de l’entendre parler ainsi, fallait dire qu’elle prenait le langage de sa descendante. L’enseignante ne put s’empêcher de soupirer. Cependant, les bruits de pas d’un homme la fit sursauter. Elle se retourna et tomba face à face avec Arthur. Une air de dégoût apparue sur le visage de Kyana. Elle qui le détestait au plus haut point en plus. Marina, elle, rougit comme une débile. Elle baissa les yeux timidement alors que Aragolas, mieux connu sous le nom d’Arthur, lui faisait un baise-main. Fallait dire que la jeune enseignante n’étais pas indifférente face aux avances du sous-directeur.

-Alors comme va ma fleur des neiges?

Kyana le regarda et s’empressa de répondre à la place de Marina.

-T’a pas mieux?

Elle croisa les bras et le regarda. Elle avait l’impression qu’il voulait juste faire frustrer Vincent, surtout avec l’aura meurtrière qui énamait de son « père ». Aragolas se releva dans toute sa splendeur, il portait un complet noir avec une cravate rouge. Il venait de ses faire couper les cheveux qui touchaient ses épaules. Il avait la mâchoire légèrement plus carré que Vincent, ce qui le différenciait assez de lui. Il glissa ses mains dans ses poches puis avança vers Kyana.

-Tiens une âme fraîche, je peux te manger ma jolie? Allez, viens faire un bisous à Tonton Ara

Ara tendit les lèvres en direction de sa nièce. La jolie en question le regarda puis elle lui sourit doucement. Elle s’approcha de lui puis au moment de l’embrasser, elle lui flanqua une bonne claque sur la joue.

-Tu disais?

Vincent regarda ses presques touchantes retrouvailles de mère et fille…bien quil sachait pertinement qu’on l’avait fort bien oublier a ce moment précis, sa ne le dérangeais pas…s’était deux personnes si chères a ses yeux qu’il se serrait sentit presque coupable de gâcher ce moment…Kyana commenca a dire que Mari était bien foutu, il la regarda a son tour de la tête au pied…la dévisageant presque. Il rougit, elle était vraiment belle, elle…. Puis, le seul énergumène qui pouvait gâcher se moment arriva…ARA !!!! QUEL CONNARD !!

comment va ma fleur des neiges ! non mais qu’il se le foute ou se quil le pense sa fleur des neiges !
Il le détestait…de toute son âme, vicéralement. Chaque mot qu’il prononcait faisait qu’il le détestait encore plus…c’était pire lorsque c’était dit a marina…pas qu’il n’aimait pas mari, bien au contraire…Mais parce qu’il savait fort bien les effets qu’avaient cette merveilleuse femme sur lui. Et parce qu’il savait qu’il n’était pas l’homme le plus romantique au monde… Le pire était lorsquil voyait que les avances de ara faisaient de l’effet a sa mari-chan…

Puis, il se remit en marche mais cette fois vers kyky…SA KIKI 0_0 !!! Ara était pire qu’Avant…avant, c’était un meurtrier, un psycho…un…un…un coureur de jupons en cavales ! et maintenant pire encore…

d’après le jugement de vincent, ara était maintenant : un danger public ambulants dont les femmes de tout âges devaient absolument éviter d’approcher. s’en était trop, une étincelle hurlante apparut dans ses yeux, déjà quand il draguait Marina on sentait une onde meurtière horrible…maintenant elle venait surement de monter en flèche…

-STARLIGHTO KICK !!!!!!!!! hurla til comme un hurlement de guerre avec un accent japonais en se lancant sur arthur et en lui donnant par la même occasion un puissant coup de pied dans les côtes quil ne pu éviter. Le métis (moitié anglais moitiée japonais) épousseta de la main ses vêtements et se releva, en mettant son pied droit sur ara qui était écrasée au sol, un beau sourire victorieux aux lèvres.