Nom: Teriuky
Prénom: Miku
Surnom: Mik, kiki, teru, teriu, riu, kuku, mikuku, miki, etc.
Fonction: Directeur/animateur de la radio
Âge: 16 ans
Psycho: Miku est très gentil, mais très arrogant. Selon lui, il a toujours raiison mais il est la preuve vivante que l'homme descend du singe. Il est très doué pour les matières scolaires, mas il est pourris en ce qui concerne la géographie. Sa matière préféré est l'histoire. Il connait par coeur les dates de fondations des grandes ville du japon; surtout Tokyo. Malgré son style "particulier", il est très gentil.
Physique: Mik a des cheveux châtains-roux, un tee-shirt blanc avec des écritures anglaises, une chemiise style bûcheron (c'est à dire carreauté rouge) et une veste noire-grise charbon. Il porte une ceinture à stods et une autre à damier blanc et noir. Il porte un kilt écossais et des bas-collants rose nanane opaque. Il porte des grosses bottes hautes noire avec des attaches semblables à celle dune ceinture.
Passé: Le jeune homme fut brusquement sorti de ses pensés quand son père ouvrit la porte de sa chambre à la volée et cria son nom. Il regarda son cadran, 7 : 25. Il allait être en retard. Il ne laissa pas la joie à son père de dire quelque chose. Il prit ses affaires en vitesse et fila déjeuner. Il monta ensuite dans une grande salle ou il y avait sa garde-robe personnelle. Evidemment, pour l’école il prit son uniforme non-obligatoire fraîchement lavé comme à tous les jours et l’enfila rapidement. Il redescendit l’escalier qui menait au rez-de-chaussée. Une de ses trois soeurs l’attendait avec un de ses plus beau sourire. Il s’arrêta devant Mida et elle arrangea sa chemise qu’il avait l’habitude de mettre de travers. Il la laissa faire, c’était la routine. Il prit son cartable d’école et sortit de la grande maison. Sa mère était dehors en train d’attacher sa petite sœur, Kimiku, dans la vanne. Quand elle termina enfin sa besogne épuisante - car sa sœur, il fallait l’avouer, était une véritable pile rechargeable et elle préférait aller s’amuser que d’aller à l’école – se retourna vers lui et alla l’enlacer. Miki sourit. Sa mère avait toujours eu beaucoup de mal à le relâcher une fois qu’elle le tenait dans ses bras. Quand elle se consentit enfin à le lâché, elle regarda son fils, les larmes aux yeux.